Le joueur de poker dénommé Lex Veldhuis vient de commencer son aventure sur la plateforme de streaming vidéo « Twitch ». Il a annoncé sa première partie par l’intermédiaire d’un post intitulé « J’ai perdu ma virginité Twitch » et posté sur le blog PokerStars. Il aurait réussi à remporter un tournoi à 16,50 dollars lors de sa première session.

Retour sur ses premiers pas

Lex Veldhuis a commencé son aventure Twitch au début du mois d’avril avec un petit tournoi. Celui-ci avait réuni un pool de 1181 joueurs pour un buy-in de 16,50 dollars. Dans son post relatant sa première session, le joueur avoue avoir passé un excellent moment lors de cette compétition. Le live streaming lui aurait permis de vivre une expérience inédite qu’il souhaite prolonger. Il est allé jusqu’à déclarer que le streaming lui aurait permis de vivifier son amour du poker.

Après avoir éliminé quelques joueurs durant le tournoi, Lex Veldhuis a réussi à remporter la cagnotte de 2 685 dollars. Il est intéressant de noter que le joueur a commencé par s’adonner au PLO avant de se tourner vers un autre format. Selon lui, le PLO ne convient pas au streaming. Il termine en déclarant avoir particulièrement apprécié les interactions avec les spectateurs à travers le chat. La possibilité d’écouter de la musique ou de montrer des vidéos lui a également beaucoup plu.

Une renaissance

Lex Veldhuis avait commencé à se détourner du poker avant sa session sur Twitch. Il aurait fini par se lasser des sensations offertes par les tournois. Cependant, le fait de discuter durant un stream lui a permis de redécouvrir le jeu. Il n’a aujourd’hui qu’une seule envie : continuer son aventure Twitch.

Suite à de fortes accusations exprimées par l’Autorité des Marchés Financiers du Québec envers divers cadres d’Amaya Gaming, le président et directeur général du groupe vient d’abandonner sa fonction opérationnelle. Il sera remplacé par un binôme à la tête du groupe. Cette décision viserait à protéger les activités d’Amaya Gaming pendant la durée de l’affaire.

Les détails de l’affaire

Le PDG d’Amaya Gaming aurait fait fuir à plusieurs reprises de l’information privilégiée à divers complices, dont son propre frère. Suite à cette accusation qui serait d’ailleurs soutenue par de nombreuses preuves solides, le PDG a pris ses distances vis-à-vis de sa fonction au sein du groupe. David Baazov gardera malgré tout son salaire ainsi que sa place dans le conseil d’administration. Sa fonction opérationnelle quant à elle sera partagée par Dave Gadhia et Rafi Ashkenazi, respectivement directeur d’Amaya depuis 2010 et directeur général de Rational Group depuis 2015. À noter que le tribunal administratif du Québec devrait conduire des enquêtes supplémentaires à partir du 23 mars pour vérifier la véracité des accusions formulées contre David Baazov. Le PDG aurait ainsi quitté son poste pour pouvoir se concentrer sur sa défense.

Le rachat d’Amaya

Cette affaire intervient à un moment délicat de la vie du groupe et de son PDG. Ce dernier avait en effet annoncé son intention de racheter la firme avec l’aide d’un groupe d’investisseurs. Suite à cette annonce, l’action Amaya avait grimpé d’un tiers de sa valeur. Cependant, à cause de cette affaire, elle vient de retomber à 12 dollars. La question du rachat quant à elle reste en suspens, même si David Baazov a chargé son remplaçant, Dave Gadhia d’assurer le processus durant son absence.

La cinquième édition du Winamax Poker Tour vient de s’achever sur une victoire originale. Pour la première fois, la Grande Finale a été remportée par un joueur s’étant qualifié via les étapes freeroll. Cyril Georges a réussi à mettre la main sur le trophée et le chèque de 103 500 euros en payant 0 euro pour prendre part à l’évènement. Ce jeune joueur vient de frapper fort et une carrière de joueur professionnelle se dessine devant lui.

Une performance exceptionnelle

Tout commence lorsque Cyril Georges s’inscrit aux freeroll du Winamax Poker Tour. Cette phase de qualification lui a permis de prendre part à l’évènement sans payer le buy-in fixé à 550 euros. Une fois son ticket en poche, il s’est rendu sur un forum de poker pour approfondir ses connaissances et optimiser son jeu pour la Grande Finale. Lors de son interview avec l’équipe de Winamax, il a en effet déclaré qu’il s’intéressait beaucoup au côté théorique du poker. Lors du jour J, Cyril s’est montré bien détendu et il a enchainé les 5 jours de l’épreuve en tête du classement. Après un heads-up face à Sylvain Nazarian, il a remporté le trophée et la coquette somme de 103 500 euros. À noter qu’il a écrasé un field de 1389 joueurs, dont plusieurs pratiquent le poker à un niveau professionnel.

Les études d’abord

Cyril vient d’entrer dans l’histoire du poker alors qu’il n’est âgé que de 20 ans. À l’heure actuelle, il n’envisage pas encore de se professionnaliser. Selon lui, les études passeront toujours avant le poker. Pour ce qui du reste de la table finale, elle se compose entre autres de Marc De Brito à la 3^e place, Mohamed Cheikh à la 4^e, Salah Amran à la 5^e, Ricardo Manquant à la 6^e, Othmane Chaib à la 7^e et Allan Tirel à la 8^e.

Tous les joueurs de poker savant que leur meilleur atout lors des paris en live reste leur calme. Les tells ou ces signes de langage qui trahissent le joueur peuvent véritablement gâcher une partie. Pire, si les tells se développent en comportement compulsif, ils peuvent détruire une carrière de joueur. Aussi, pour éviter de tels problèmes, les joueurs professionnels concentrent une partie de leur entrainement à la maitrise de leur émotion et leur réaction.

Les doigts, la bouche et la voix

Parmi les principaux tells à éviter, trois d’entre eux portent sur la maitrise des doigts, de la bouche et de la voix. Un joueur stressé développe souvent le syndrome des « doigts tremblants » lorsqu’il se retrouve avec une mauvaise main. Pour éviter ce tell, il est recommandé d’apprendre à contrôler son rythme cardiaque et sa respiration. Pour cela, le sport et la méditation figurent parmi les meilleurs entrainements. À noter que les doits tremblants peuvent aussi être utilisés pour tromper.

Lors d’un bluff, un joueur peut aussi être tenté de sourire. Dans ce cas, il convient de pousser le geste à son paroxysme pour éviter de dévoiler son jeu. Un sourire en coin constitue en effet un véritable aveu de bluff. Enfin, il est recommandé de toujours garder le silence lors d’une partie de poker. Cela s’explique par le fait qu’une voix chancelante peut mettre à nu l’ensemble du jeu d’un joueur.

Les yeux et la salive

Un joueur qui a le regard fuyant dévoile l’ensemble de sa stratégie à ses adversaires. Aussi, il n’est pas rare de voir des joueurs professionnels porter des lunettes de soleil lors de leur partie. Enfin, le dernier tell à connaitre correspond à la déglutition. Elle témoigne d’un stress important qui peut être lié à un bluff ou une mauvaise période de jeu.

Le poker renferme son lot d’histoires dramatiques et de rédemption. Ceci en raison de son incroyable richesse technique et de l’engouement qu’il suscite. L’histoire du poker est également teintée de diverses histoires d’escroquerie et d’arnaque, souvent entre amis par pur appât du gain. Alors que beaucoup garde le silence pour préserver la beauté du jeu et éviter les scandales publics, Phil Galfond a décidé de briser la loi du silence pour dénoncer un arnaqueur professionnel qui sévit dans le monde du poker : Samuel Touil.

Retour sur l’histoire

Tout commence lors d’une série de sessions de cash-game à Las Vegas. Phil remarque un joueur enthousiaste qui semble avoir une réserve illimitée de crédit. Il s’agit de Samuel Touil. Malheureusement, il semblerait que ce dernier se soit retrouvé à court d’argent pour continuer à gambler. Il a alors demandé de l’aide à Phil qui n’a pas hésité à lui prêter la coquette somme de 250 000 dollars. Après avoir encaissé le chèque, Samuel est parti joué pour finir à sec. Il promet alors à Phil de le rembourser avant la fin de son séjour. Malheureusement, les excuses vont s’enchainer et Phil ne reverra jamais son argent. Un soir, Phil décide de jouer au Bellagio pour retrouver Samuel et exiger un remboursement immédiat. Samuel consent à lui donner 50 000 dollars. Phil découvre ensuite que Samuel possède largement de quoi le rembourser à sa table. Il insiste et Samuel réplique en le menaçant de le dénoncer pour non-paiement de dettes. Ce chantage pouvait marcher dans la mesure où les caméras ont enregistré Samuel en train de donner 50 000 dollars à Phil. Déçu et furieux, ce dernier quitte l’établissement.

Le dénouement

Suite à la soirée au Bellagio, Phil rentre pour revoir sa famille. Pendant plusieurs mois, Samuel l’évitera jusqu’au jour où il reçoit une lettre de la part de l’avocat de Phil. Il finit par répondre à un appel téléphonique de Phil durant lequel il lui indique « avoir emprunté 50 000 dollars et remboursé 50 000 dollars ». Pour lui, l’affaire était terminée. Phil abandonnera son combat et se consolera en racontant cette histoire aux différents médias spécialisés.

Il y a cinq ans de cela, Full Tilt Poker se retrouvait au cœur d’une importante controverse sur la politique de gestion de ses gérants. Ces derniers utilisaient l’argent des joueurs en leur certifiant qu’il était en sécurité sur d’autres comptes. Suite à cette affaire, les principaux patrons de Full Tilt Poker et de Pokerstars ont subi d’importantes poursuites judiciaires. Force est de constater malgré tout qu’ils ont tous réussi à s’en sortir, en particulier Raymond Bitar qui a évité la prison de justesse.

Une retraite paisible

Suite à l’affaire du « Black Friday », la famille Scheinberg qui détenait alors l’intégralité des parts de Full Tilt Poker et de Pokerstars a décidé de revendre ces sociétés au groupe Amaya Gaming. Cette transaction reste une des plus connues en raison de son montant de 4,9 milliards de dollars. Daniel Tzvetkoff de son côté vit paisiblement en Australie.

Quant à l’ancien patron de Full Tilt Poker, Raymond Bitar, il passe une retraite confortable et calme en compagnie de sa femme. Pourtant, son parcours suite au « Black Friday » ne présageait rien de bon pour l’ancien chef de Full Tilt Poker. En 2013, il avait plaidé coupable de conspiration pour commettre une fraude bancaire. Il a également reconnu avoir violé l’Unlawful Internet Gambling Enforcement Act. La justice devait alors le condamner à une peine de prison importante. Malheureusement pour les joueurs de Full Tilt Poker, la santé précaire du chef d’entreprise lui a permis d’éviter la prison. Selon sa femme, il devait subir une transplantation du cœur. Le juge a alors refusé l’emprisonnement puisqu’une telle peine serait l’équivalent d’une condamnation à mort pour l’accusé.

La plus grande tromperie

Présenté comme ruiné et malade par les membres de sa famille et ses anciens collègues, Ray Bitar serait pourtant en pleine forme et tout aussi riche qu’avant. D’ailleurs, en octobre, il s’est marié en grandes pompes avec Jacquelyn Lucas.

La folie du PowerBall a frappé le monde de plein fouet avec une cagnotte hors-normes d’un milliard de dollars. Face à une telle somme, nombreux sont les non-joueurs à avoir tenté leur chance quitte à débourser d’importantes sommes et à faire la queue pour acheter des tickets. Les joueurs réguliers quant à eux n’ont pas hésité un seul instant à suivre le mouvement. Parmi les parieurs les plus connus de ce PowerBall se trouve le millionnaire Dan Bilzerian.

Trois gros sacs de tickets

Touché par la folie du PowerBall, Dan Bilzerian a décidé de dépenser une somme aussi démesurée que la cagnotte pour obtenir le ticket gagnant. Grâce à la fortune héritée de son père qui est évaluée à 100 millions de dollars, l’homme au style de vie décalé a ainsi misé la bagatelle de 100 000 dollars pour remporter le jackpot de 1,6 milliard de dollars.

À noter que l’homme avait créé une petite vague de frisson sur Instagram. Après avoir acheté ses tickets, il a en effet publié les photos avant de promettre à ses followers d’offrir un million à cinq d’entre eux. Malheureusement pour lui et ses followers, il n’a pas trouvé les 5 numéros gagnants de ce tirage exceptionnel.

Les gagnants

Le jackpot de 1,6 milliard de dollars a finalement été remporté par trois joueurs. Le premier réside en Californie, le deuxième vient du Tennessee et le dernier se trouve en Floride. Ils possèdent tous un ticket avec les numéros 8, 27, 34, 4 et 9. À noter que chacun de ces tickets vaut 310 millions. Les vainqueurs quant à eux gagneront 187 millions chacun une fois les taxes déduites.

Les joueurs malhonnêtes rivalisent d’ingéniosité pour tricher au casino. Dernièrement, un croupier a été pris la main dans le sac alors qu’il volait des jetons de casino en les glissant depuis sa poche vers sa chaussette. Le salarié travaillait au « Cromwell Mint Casino » et il était aidé par deux complices.

Retour sur l’affaire

Le croupier du Cromwell Mint Casino aurait conçu un pantalon spécial pour pouvoir voler des jetons durant ses heures de travail. Celui-ci comprenait un tube reliant une fausse poche à la chaussette du croupier. Lors de ses sessions, le croupier d’origine roumaine glissait les jetons dans cette poche pour pouvoir les transporter en dehors du casino. Selon le Daily Mail, le croupier procédait ensuite à un échange avec une « magnifique femme d’Europe de l’Est ». Un troisième complice devait finalement se charger d’échanger les jetons volés auprès du caissier. À l’heure actuelle, l’identité du croupier n’a pas encore été divulguée par le casino. Les complices seraient quant à eux en liberté. L’établissement refuse également de communiquer la hauteur du préjudice qu’il a subi à cause de ce croupier. Malgré tout, 12 000 livres de jetons auraient été retrouvés chez lui suite à son interpellation.

Le danger vient de l’intérieur

Il est intéressant de noter que les employés des casinos figurent souvent au sein des groupes accusés de triche ou de fraude. En juin 2015 par exemple, deux croupiers anglais avaient été condamnés pour avoir triché à la roulette. Ils auraient réussi à voler 23 000 livres au Coral Island Casino.

Dans le cadre de sa stratégie marketing, Pokerstars s’associe à diverses stars pour assurer sa promotion. Si les montants offerts à ces personnages publics sont jusqu’ici restés secrets, le site dénommé « Football Leaks » vient de lever le voile sur ce mystère. On apprend ainsi que Neymar Jr reçoit la coquette somme de 2 millions de dollars par an dans le cadre de son contrat avec l’opérateur.

Les détails du contrat de Neymar Jr

Le site « Football Leaks » qui repose sur un système similaire à celui de « Wiki Leaks » vient de publier les détails de plusieurs contrats publicitaires signés entre Neymar Jr et différents opérateurs entre 2012 et 2015. Parmi ces derniers se trouve d’ailleurs l’opérateur de jeux d’argent Pokerstars qui a accueilli le joueur dans sa grande famille pour assurer sa promotion auprès du grand public. Selon les informations publiées par le site, la star barcelonaise touche un salaire de 2 millions de dollars en tant qu’ambassadeur de la marque Pokerstars. En échange de cette somme, le joueur est tenu de participer aux différentes campagnes publicitaires de la room. Une close du contrat oblige également le joueur à assurer la promotion de la room sur ses réseaux sociaux à travers 10 messages par an. À noter que le fonds Doyen Sports qui représente le joueur perçoit une commission de 400 000 euros par an grâce au contrat de Neymar Jr avec Pokerstars.

Une stratégie grand public

Si Pokerstars investit de telles sommes pour s’offrir les services du joueur, cela s’explique par les objectifs de sa stratégie marketing. La room cherche en effet à bâtir une image positive d’elle-même et du poker auprès des joueurs et du grand public. À noter que la room a récemment mis fin à plusieurs contrats de joueurs professionnels pour les remplacer par des stars comme Neymar Jr ou Ronaldo.

Un tournoi de poker organisé par une association américaine d’étudiants a décidé de mettre en jeu une cagnotte assez originale. Les vainqueurs de la compétition pouvaient remporter des armes à feu offertes par des armureries locales. Le tournoi a eu lieu sur le campus de l’Université d’Oregon et il s’agit de la deuxième édition.

Un tournoi original

Le 20 novembre 2015, l’association étudiante Young Americans For Liberty a organisé la deuxième édition de la Liberty Poker Night. Ce tournoi possède la particularité de proposer un prizepool assez surprenant. Parmi les lots offerts aux plus méritants se trouvent notamment un fusil à lunette ainsi qu’un pistolet SIG. Ces armes à feu auraient été offertes par des armureries locales dans le cadre d’un contrat de partenariat. À noter que la nature controversée des lots a conduit l’Université d’Oregon à interdire aux organisateurs de procéder à la promotion de leur tournoi par l’intermédiaire d’affichages sur le campus. L’université a également refusé de reconduire son financement de 1 000 dollars accordé lors de la précédente édition. Enfin, il est intéressant de noter que les vainqueurs du tournoi ont été invités à retirer leur lot auprès des magasins, les armes à feu étant interdites dans l’enceinte du campus universitaire.

Les États-Unis et les armes à feu

Malgré la multiplication des attaques armées dans les universités et autres lieux publics, les Américains semblent entretenir une relation étrange et malsaine avec les armes à feu. Au lieu de lutter contre leur interdiction, de plus en plus de personnes seraient en faveur de la liberté de détention d’armes.